Les ressorts et les apports du bénévolat au sein de l'ensemble socioculturel niortais risquent de se tarir par la normalisation impulsée par les services municipaux. Elle se comprend, le souci étant d'harmoniser les actions menées sur l'ensemble de la ville mais c'est oublier la CAF et les spécificités des quartiers. <br /> La Caisse d'Allocation Familiale, partenaire financier des Associations de quartier au travers des "Agréments", asssure son soutien (30% des ressources, environ) à la condition "explicite" que les bénévoles s'impliquent dans le Conseil d'Administration de l'association de quartier et dans les actions spécifiques menées en fonction de l'habitat. <br /> Il serait dommageable de croire que les bénévoles pourraient être sollicités le jour des réunions avec la CAF, pour donner le change. L'effet serait sans appel, la CAF supprimerait l'agrément d'autant que Niort bénéficie de plus d'agréments que la moyenne des villes françaises. Les professionnels le savent bien et ils ne sont toujours pas sortis des méfaits budgétaires et humains de la fusion MCC-MPT sans plan de licenciement préalable .... <br /> Comment vivent les salariés sagement silencieux de l'Ensemble socioculturel niortais ?

Acteur de la vie associative depuis dix ans ayant côtoyé plusieurs offices municipaux ainsi que le CNPVA, j'ai été étonné de l'exploitation politique qui était faite des associations. <br /> Il en est pour preuve que le label de la mairie "mairie de Niort - partenaire des associations" sur les affiches ou les supports de communication est de même taille, que la municiaplité verse une subvention de 500€ ou 100 fois plus ... <br /> Le processus d'attribution des subventions montrait que tout était mis en oeuvre pour rendre obscures les décisions et les critéres pris en compte. Et pour finir les sommes allouées étaient votées au conseil municipal "sans débat" comme une formalité "généreuse" ... Tout permettait de croire "à l'époque" qu'il s'agissait d'une répartition entre-amis, sous couvert d'un consensus général ou par indifférence. <br /> Depuis, la campagne électorale ayant mis sous les feux de la rampe le rôle des bénévoles et le soutien "la main sur le coeur" aux associations, les pratiques ont-elles changé ?

Qui aurait pu croire que "le nettoyage politique" était toujours d'actualité y compris dans le monde associatif si actif à Niort. Cela semblait être une pratique d'un autre temps comme en France à la libération ? <br /> 'Consterné' a raison sur "l'énormité" de voir des partisans agir avec un tel zèle en dignes herritiers soi du socialisme orthodoxe le plus pur, de Bellec ou de Baudin. <br /> Personne ne pourrait croire que Me le Maire, M.Bellec ou M.Baudin aient donné des instructions pour un tel nettoyage en sous-sol parmi les associations ! <br /> La réaction de monsieur 'consterné' illustre bien l'élaboration d'une théorie du complot pour justifier les actions punitives .... <br /> Projifas ou Progifas ? Les lettres recommandées arrivent à destination sans faille et illustrent bien le niveau du dialogue "social" entre la mairie et l'association ... Au Conseil municipal a été évoqué la maltraitance dont les salariés de Projifas sont victimes !!!!! ( avant ou après le départ des journalistes ? De toutes les façons mémoire en est faite sur le compte rendu du conseil municipal. )

Exact Projifas et pour le reste tout faux

Pfff ! Il s'agirait de vous renseigner un minimum avant d'écrire des énormités : Projifas (avec un "j") n'a pas rempli son contrat : faire de l'insertion. Dès lors, la saine gestion des fonds publics impose aux collectivités soucieuses des deniers du contribuable de trouver d'autres acteurs.