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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 13:43
A Baudin- G Gaillard même combat! On s'en doutait mais avec le lancement des commissions municipales, nous en avons la démonstration.L'ancien Maire socialiste avait encadré les conseils de quartier afin d'éviter toute dérive démocratique! C'est la ville qui fixait l'ordre du jour, choisissait les thèmes et organisait les discussions.La nouvelle municipalité fait de même avec les commissions désignant par avance les deux vice présidents des fois que les cinq élus de l'opposition prennent le pouvoir! Et l'ordre du jour est fixé par la majorité et se réduit à examiner les projets de délibérations déjà vu par la municipalité avant d'être repris par le conseil municipal. Personne ne débat sur le projet d'augmentation du prix de l'eau ( 8% envisagés) ni du problème du centre ville par exemple. En revanche pendant deux heures on tente de définir des critères d'évaluation des politiques municipales pour convenir que tout cela est subjectif sans jamais un seul instant douter de soi-même et du décalage avec ce que vivent les niortais au quotidien, c'est aussi cela le socialisme local au quotidien.
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commentaires

J
Je vous sais scrupuleux sur la qualité des informations que vous aimez donner. Ma mise au point sur le fonctionnement du C.Q centre-ville avait pour but, vous l'avez bien saisi, de rectifier la généralisation faite dans le premier message puis l'impression que vous aviez pu avoir en assistant à quelques réunions de ce C.Q.<br /> Par contre, je ne vois pas trop le rapport avec la CAMIF ....
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D
A JM<br /> Ferais-je l'objet d'un procès en excommunication et faute d'avoir enregistré ce que j'ai entendu j'ai l'impression que vous tentez de me faire passer pour un traître à la démocratie ?<br /> Et pendant ce temps là, la procédure de licenciement à la CAMIF suit son cours, le centre ville se meurt, les mutuelles sont exposées aux enjeux mondiaux comme tous les organismes financiers. Parlerons-nous dans quelques années d'un projet avorté de grenelle de l'économie locale, "pour quoi faire ? disait-on au sein du conseil municipal".
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J
C'est inexact, et vous ne pouvez pas en témoigner car vous n'étiez pas dans le Bureau de ce C.Q lors de ses réunions fixant l'ordre du jour, ... mais je comprends la confusion entre les budgets et actions du C.Q avec la Programmation qui est mise au point annuellement par les Services techniques pour les travaux en régie ou hors régie qui vont être effectués (vous n'étiez pas non plus présent à la réunion de présentation de la Programmation).<br /> <br /> Dans le cas de la rue du Soleil, il y a pu avoir à la fois un chantier inscrit dans la Programmation, la structure de la voirie, et un chantier additionnel validé sur le budget du C.Q, l'enfouissement des réseaux.
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D
Je témoigne qu'il en fut ainsi au Quartier Centre, la priorité des rues à remettre en état fut donnée par l'élue du conseil municipal de l'époque, la rue du beau soleil fut nommée (derrière le musée).<br /> La grande illusion c'est de dire et faire croire que le conseil de quartier finance des opérations sur son budget. <br /> La question juridique c'est la légitimité des conseils de quartiers à l'égard des dépenses financées par l'argent public et des décisions votées au conseil municipal comprenant les autorisations de dépenses décidées à la seule initiative du maire.
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J
"C'est la ville qui fixait l'ordre du jour"<br /> Il y a peut-être eu des C.Q où cela se passait de cette façon, mais la généralisation est exagérée, voire fausse, car ce n'était pas le cas dans tous les C.Q.
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